Lorsque le cimetière de Mée est transféré au début du 19e siècle, il possède une croix dont l’abbé Angot précise qu’elle était pourvue d’un abri.
Par la suite, les murs rejoignent les piliers et supportent les sablières de la charpente. En 1922, sur décision du préfet et contre l’avis de la commission départementale, des plaques d’ardoise qui portent les noms des soldats tués pendant la Grande Guerre sont apposées sur la façade de la chapelle.
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Comme celle qui se trouve près de la chapelle de Mégaudais, la « cabane au fond du jardin » que nous avons (presque) tous connue est aussi un élément du patrimoine vernaculaire (ensemble des constructions autrefois utilisées dans la vie quotidienne ….) que nous recherchons dans tout le département.
Au même titre que les latrines, les vespasiennes et les loges, c’est un patrimoine fragile, en voie de disparition, que nous devons préserver ou au moins en conserver une trace.
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Encore un appel aux bonnes volontés devant les risques de disparition d’un patrimoine funéraire devenu rare et bien dégradé : il s’agit des dalles funéraires avec épigraphies sur massifs de moellons. Les conserver serait l’idéal mais en attendant, il est urgent d’en garder la mémoire par un relevé et des photos.
Ces photos prises dans les cimetières de Molières et de Saint-Denis-d’Anjou sont le reflet d’une situation que l’on peut retrouver à Froidfonts, à Saint-Germain-de-l’Hommel et dans bien d’autres lieux.
Photos : D. Trideau, J. Poujade